Prière constante :
Pour
nous, « la joie du Seigneur est notre rempart » (Né 8, 10).
Nous
traversons les épreuves de la vie et nous endurons les souffrances
de tous
sans céder à la tentation du désespoir
car nous savons en
qui nous mettons notre espérance.
« Si je traverse les ravins de la
mort, je ne crains aucun mal »
car je sais que l’amour de Dieu est
plus fort que la mort
et que rien ne peut nous en séparer.
Si nous
avons quelque chose à craindre,
ce n’est pas que notre niveau de
vie baisse
ou que nos retraites deviennent incertaines,
c’est
plutôt que notre foi s’affadisse et devienne un sel insipide.
C’est pourquoi notre joie est indissociable de la prière
constante,
même si elle est laborieuse.
Extrait de l'homélie du cardinal André Vingt-Trois, prononcée le 16 décembre,
au moment de quitter ses fonctions d'archevêque.
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